Lorsque j'ai écrit les Portes de l'Outremonde, je me suis amusé à reprendre des éléments réels du Paris de 1906. Je vous en dévoile 7.
Paris des merveilles
Le Paris de la Belle époque (fin XIXe, début XXe siècle) : messieurs portant le haut-de-forme, femmes chapeautées et gantées, premières voitures, triomphe de la science et de la fée électricité, titis parisiens, apaches et artistes qui se mélangent, architecture de verre et d’acier, les débuts de l’aviation, l’Art nouveau… Une époque intense, délurée et passionnante, mais avec sa face sombre aussi (comme le terrorisme anarchiste, les nationalismes européens et les bagnes d’outremer).
C’est le décor que l’auteur de steampunk et de fantasy français Pierre Pevel a choisi pour le Cycle d’Ambremer (les romans qui se déroulent dans le Paris des merveilles). Une ville en tout point semblable à quelques détails près ;-).
Alors reprenons…
Le Paris des merveilles : des mages ont pignon sur rue, des gnomes travaillent dans les usines, des faunes et des dryades ont élu domicile dans les jardins publics, la Tour Eiffel est faite d’un bois blanc luminescent… Depuis le début du XIXe siècle, le royaume féerique d’Ambremer s’est révélé aux humains et les deux mondes vivent un destin commun.
Sur l’île Saint-Louis, un mage nommé Louis Denizart Hippolyte Griffont tient cabinet. Ce sont ses aventures – et celles d’Isabel de Saint Gil – que l’on va vivre. Des aventures à la Dumas, pleines d’action, d’humour et d’émotions.
Revenons à la réalité
(c’est bien la réalité, n’est-ce pas ?).
Après une première incursion en 2019 dans Contes et récits du merveilles où je m’emparais de la figure de Rodin, je reviens dans la troisième anthologie consacrée à ce fantastique univers : les enquêteurs du Paris des merveilles.