Du 4 au 6 juin (2021) se tient le festival Nice Fictions consacré aux genres de l’imaginaire (fantasy, steampunk, science-fiction, fantastique) sous toutes ses formes.
En septembre 2019 (oui, ça date un peu 😅) j’avais soumis une nouvelle appelée Noch’ monstra pour l’anthologie que publie le festival à chaque édition, sur le thème de la « terre 2.0 », c.-à-d. imaginer comment l’humanité pourrait repartir d’un bon pied dans le futur.
Ce thème m’avait interpellé car il était à rebours de la noirceur ambiante et redonnait une place au volontarisme et à la créativité initiées par l’humanisme.
Je vous mets ici un article qui parle assez bien de cette démarche : Quand la science-fiction abandonne les récits de fin du monde pour un optimisme subversif.
Avance rapide : chouette, ma nouvelle a été acceptée 😀 ; aïe 2020 n’est pas terrible comme cru ; c’est pas grave, on se retrouve en 2021 pour déguster cette petite histoire.
Noch’ monstra parle des rêves héritées des civilisations disparues (pensez à la démocratie par exemple, même si celle des Grecs anciens est assez éloignée des systèmes modernes). Elle paraît ces jours-ci (juin 2021) dans l’anthologie Terre 2.0 aux côtés de 17 autres très belles fenêtres sur le futur.
Comme l ‘an dernier, Nice Fictions se tient en ligne. Le festival propose un programme de conférences et tables rondes sur 3 jours, comme toujours super diversifié. Il y en a pour le tout le monde.
Si vous le souhaitez, vous pourrez me retrouver le samedi 5 à 20:00 (2021)en compagnie des co-auteurs et co-autrices pour présenter l’anthologie et dimanche à 15:00 (2021) pour parler uchronie et histoire (on ne se refait pas). Tout est sur le site du festival.
À bientôt et encore une fois : merci de me suivre.